Venir à l’UBO autrement : témoignage #3

Du 8 mai au 9 juin, l’UBO participe au challenge Tout à vélo. En soutenant ce type d’initiatives et en développant des aménagements sur ses campus, l’université souhaite encourager sa communauté à opter pour les mobilités douces. De nombreux personnels ont déjà adopté un mode de transport alternatif à la voiture individuelle : covoiturage, vélo, marche, transports en commun… Chaque semaine, pendant toute la durée du challenge, L’UBO, en vert c’est mieux ! vous invite à découvrir le témoignage d’un agent qui fait le choix de venir à l’UBO autrement.
Solène Cousse est accompagnatrice aux Usages du numérique au sein de la direction des Systèmes d’information et des Usages du numérique (DSIUN) de l’UBO. Elle travaille au PN2B, dans le cœur de campus Bouguen. Elle pratique le covoiturage depuis octobre 2022 et n’y voit que des avantages !

« Pour la petite anecdote, je dirais que ce covoiturage est le fruit d’une rencontre fortuite. Je m’étais inscrite sur une plateforme dédiée mais je n’avais trouvé aucun profil correspondant : même trajet et mêmes horaires. Un midi, alors que je déjeunais dans un parc près de mon bureau, j’ai rencontré une connaissance qui habite dans la même commune des Monts d’Arrée. Nous avons discuté et voilà comment cela a commencé.
Sur une semaine classique, nous covoiturons 3 jours au départ de mon domicile, ce qui est très appréciable. Je télétravaille les deux jours restants. Et nous alternons pour la conduite et pour le véhicule.
Je n’y vois que des avantages, surtout sur un trajet d’une heure comme le nôtre. C’est un vrai gain financier dans ce contexte persistant de flambée des prix de l’essence. C’est aussi de la fatigue en moins. Une fois sur deux, je ne suis pas au volant et c’est très reposant.
Et puis cela crée des liens amicaux. C’est tellement plus sympathique de faire la route à deux, en discutant. Parfois, je suis étonnée de constater que le trajet est déjà fini ! »

Venir à l’UBO autrement : témoignage #2

Du 8 mai au 9 juin, l’UBO participe au challenge Tout à vélo. En soutenant ce type d’initiatives et en développant des aménagements sur ses campus, l’université souhaite encourager sa communauté à opter pour les mobilités douces. De nombreux personnels ont déjà adopté un mode de transport alternatif à la voiture individuelle : covoiturage, vélo, marche, transports en commun… Chaque semaine, pendant toute la durée du challenge, L’UBO, en vert c’est mieux ! vous invite à découvrir le témoignage d’un agent qui fait le choix de venir à l’UBO autrement.
François Ingremeau est maître de conférences en physique à l’IUT de Quimper. Il est adepte du vélo (musculaire) pour ses déplacements. Il nous explique pourquoi.

« Partout où j’ai habité, je suis toujours venu au travail à vélo. C’était donc une évidence de continuer ici aussi, à Quimper. La petite particularité, c’est que la ville est très vallonnée. C’est donc parfois un peu sportif !
J’ai environ 4km à parcourir, ce qui me prend entre 10 et 12 minutes. L’un des gros avantages, c’est que je connais exactement mon temps de trajet. Ce qui n’est pas le cas en voiture, en raison des aléas de circulation. Et je suis plus rapide à vélo, surtout aux heures de pointe ! C’est un des gros avantages de ce mode de transport, au même titre que l’aspect environnemental.
Et je prends aussi du plaisir à rouler à vélo. D’ailleurs, je ne passerai pas le pas de l’électrique. Je suis adepte du plus simple et je peux ainsi entretenir et réparer moi-même mes deux vélos. Et, au quotidien, ça me fait du bien de me dégourdir les jambes.
L’aspect financier n’est pas non plus négligeable. On peut acheter un vélo d’occasion pour le prix d’un plein d’essence ! Et sur demande auprès de la DRH, il est aussi possible de bénéficier, une fois par an, du forfait mobilité durable. »

Budget participatif 50 ans #4 : des composteurs sur le campus

Le composteur du site de la présidence, rue des Archives.

Dans le cadre de ses 50 ans, et pour permettre à ses étudiants et personnels de proposer et mettre en œuvre des idées répondant à leurs attentes, l’université a lancé, fin 2021, un budget participatif. À l’issue d’une sélection, puis d’un vote du public, 6 projets ont été retenus. L’UBO, en vert c’est mieux ! vous a proposé de découvrir les projets en lien avec le développement durable. Gros plan sur le dernier d’entre eux : l’installation de composteurs sur le campus.

Un projet réétudié

Ce sont des pots de fleurs lombricomposteurs qui ont d’abord été envisagés. L’idée a finalement été revue, mais l’objectif reste identique : permettre aux étudiants et personnels de valoriser leur biodéchets et ainsi réduire le volume de nos poubelles. Le compostage de proximité est en effet une solution simple à mettre en œuvre, efficace et peu coûteuse. Selon l’Ademe, il permet de réduire le volume de nos déchets d’un tiers !

8 composteurs sur les campus

Les 8 composteurs ont été installés sur les campus brestois. Ils permettront aux étudiants et personnels qui le souhaitent de valoriser leurs déchets organiques afin de les transformer en un engrais naturel proche du terreau.

Un mémo compostage

Chaque composteur est accompagné de son mémo. En effet, il existe quelques règles à connaître pour faire un bon compost : ce qu’on peut y déposer et, au contraire, ce qu’il ne faut pas y déposer, comment l’entretenir…

Des astuces pour créer des événements plus écoresponsables

Au travail aussi, il est possible d’agir pour l’environnement ! Forte de cette conviction, l’UBO a démarré, en mai 2022, une campagne d’1 an à destination de ses personnels. Cet écogeste est le 12e et dernier de la série.

100 000. C’est le nombre de manifestations professionnelles qui ont lieu chaque année en France dans le secteur de l’événementiel (source : Ademe). Or, l’événementiel est souvent pointé du doigt pour les impacts environnementaux qu’il génère. De la simple réunion, en passant par le séminaire ou le pot festif, il existe des leviers pour réduire et compenser leur impact environnemental. L’UBO, en vert c’est mieux ! vous propose quelques pistes pour avancer dans vos réflexions et peut-être faire vos premiers pas vers une démarche plus responsable dans l’organisation de votre évènement.

Restauration

Préférez les produits locaux et de saison
Pour les repas et les collations, que ce soit par l’intermédiaire d’un traiteur ou non, vous pouvez favoriser les aliments de saison, proposer plusieurs menus avec une alternative végétarienne ou « bas carbone ». Certains traiteurs proposent des critères éco-responsables : origine des produits, fait maison, gestion des quantités, des déchets et du surplus…
Pensez à… demander aux participants de confirmer leur présence au repas pour ajuster au mieux les quantités.

Favorisez le réutilisable et le vrac
Si possible, utilisez de la vaisselle réutilisable plutôt que jetable. Pour les moments de convivialité entre collègues, rappelez aux participants d’apporter leur mug personnel. Préférez les produits en grands conditionnements pour éviter la multiplication des déchets d’emballages.
Bon à savoir : l’association Zéro déchet Nord Finistère tient à jour sur son site web une liste des commerçants et traiteurs zéro déchet de la métropole brestoise.

Communication

Optez pour des goodies durables
Misez sur des cadeaux dématérialisés : stand photo, pass culture, etc. Si l’objet reste incontournable, privilégiez des objets promotionnels éco-responsables : utiles, français et éco-conçus. Et mettez-les à disposition plutôt que de les distribuer systématiquement.

Visez une empreinte écologique la plus faible possible
De la maquette à l’impression, optez pour l’éco-conception : sobriété graphique, diffusion des supports au plus près des besoins, limitation des impressions, etc. Privilégiez le partage d’informations (plans, programme…) grâce à des liens de téléchargement et mettez à jour régulièrement votre liste de destinataires pour s’assurer de ne transmettre les informations qu’aux futurs participants.
Pensez à… récupérer les badges à la fin de l’événement pour permettre leur réutilisation.

Adoptez les bons réflexes en visio
Privilégiez l’audio et gardez la vidéo uniquement pour les présentations. Réalisez vos visioconférences de préférence sur ordinateur et surtout sur un réseau WiFi, beaucoup moins énergivore que la 4G.
Bon à savoir : vous pouvez comparer les émissions de CO2 des plus grandes applications de visioconférences grâce à l’impactomètre ou bien à l’outil développé par GreenSpector.

Transport et hébergement

Encouragez les déplacements doux
Précisez, sur vos invitations, le plan d’accès en transports en commun à partir de la gare/de l’aéroport, temps de parcours, arrêts de bus (horaires, tarifs et circuits), présence de pistes cyclables…
Pensez à… contacter les organismes de transports collectifs (Bibus, compagnies de transports locales) qui peuvent proposer des services de transports adaptés à vos besoins.

Orientez vers des hébergements écoresponsables
Privilégiez les établissements éco-labellisés (Clef verte, écolabel européen…), faciles d’accès en transports en commun ou à proximité de l’événement.

Bon à savoir

Ces conseils sont issus du Guide pratique pour l’organisation d’événements écoresponsables à l’IUEM, élaboré par un groupe de travail composé de personnels du projet Preventing Plastic Pollution, de référents des groupes écoresponsabilité de l’IUEM et de gestionnaires.

Des prairies fleuries, rue des Archives

Rue des Archives, dans le parc de la présidence, des prairies fleuries sortent progressivement de terre. Gros plan sur cet aménagement qui s’inscrit dans l’axe de valorisation de la frange paysagère sud du campus du Bouguen.

L’UBO est riche de nombreux espaces verts dont plusieurs s’inscrivent dans une trame verte qui joue un rôle majeur à l’échelle de la métropole et qu’il convient de renforcer.
En septembre dernier, les équipes des Espaces verts de l’UBO préparaient un nouvel aménagement dans le parc situé derrière la présidence : des zones fleuries constituées d’espèces végétales différentes, mixant couleurs et hauteurs.
8 mois plus tard, la floraison a commencé pour le plus grand bonheur des promeneurs et usagers du site.
« Le terrain est particulier car toutes les zones ne présentent pas les mêmes caractéristiques et il fallu en tenir compte dans le choix des plantations » explique Marcel Colas, responsable du pôle Espaces verts à l’UBO.
« Aux abords des sous-bois, le terrain est humide et très ombragé. Nous avons d’ailleurs dû retravailler récemment une petite portion. Mais globalement, la pousse est bien engagée. Nous aurons, à terme, 3 hauteurs différentes. L’idée étant de donner du relief. Et beaucoup des espèces semées sont mellifères : elles contiennent du nectar et du pollen qui attirent les insectes butineurs, dont les abeilles. »

Un projet aux multiples atouts

Les objectifs de ce projet sont multiples :

  • embellir le site, très fréquenté par les promeneurs, riverains et usagers ;
  • favoriser la biodiversité (faune et flore) ;
  • préserver les ressources en limitant les tontes (diminution de la consommation de carburant et de la pollution sonore) ;
  • participer à l’enseignement et à la recherche : le département de biologie de la faculté des Sciences et Techniques va assurer un suivi des arthropodes et des plantes du site.

L’UBO déploie la collecte sélective du papier sur ses campus

Dans un objectif de réemploi, le pôle Reprographie de l’UBO réalisera certaines bannettes de collecte à partir de bâches utilisées pour la communication et l’événementiel.

Depuis 2015, la collecte du papier à l’université se faisait sur le principe de l’apport volontaire. Dorénavant, c’est sous le format de la collecte sélective que seront traités les papiers des usagers de l’UBO !

Jusqu’en mai 2023, la collecte du papier se faisait par apport volontaire, grâce aux bennes bleues positionnées à l’extérieur des bâtiments. Seuls 10% de papiers et cartons étaient ainsi collectés et donc valorisés. Si l’on considère que 70 à 80% des déchets produits par les services administratifs et les enseignements sont constitués de papiers et/ou de cartons, il était primordial d’améliorer la gestion de ce flux de déchets !

Une expérimentation concluante avant une généralisation progressive

Un nouveau dispositif de collecte a été expérimenté plusieurs mois sur le site de la faculté des Sciences et Techniques. Grâce à l’expertise du service général d’Entretien (SGE) et au soutien du comité local DDRS de Sciences, la mise en place de la collecte sélective s’est révélée très positive. Maintenant, place à la généralisation du dispositif ! Elle se fera progressivement sur l’année 2023.

Un fonctionnement simplifié pour l’usager

Concrètement, des bannettes spéciales papiers seront progressivement installées dans chaque bureau, salle de cours, amphithéâtre. Les papiers ainsi collectés et séparés du flux de déchets « tout-venant » seront acheminés vers des filières de recyclage adaptées pour permettre une valorisation matière.
Tout au long du déploiement, une sensibilisation et des opérations de communication seront réalisées à destination des personnels et étudiants pour les informer des modifications à venir : signalétique dans les couloirs de circulation et aux emplacements des corbeilles, info via le site et les newsletters, mobilisation et soutien des comités locaux DDRS, etc.

Une démarche de réflexion plus globale

Cette évolution participe à une démarche plus large qui a pour objectif de réduire les déchets à la source et de valoriser au mieux les déchets inévitables générés par les activités de l’université en considérant le réemploi, la réutilisation et enfin le recyclage.
Une grande partie des déchets de l’université sont déjà collectés dans une perspective de valorisation. Toutefois, dans une démarche d’amélioration continue, une réflexion plus globale autour de la gestion des déchets est en cours pour optimiser le tri, la collecte et la valorisation de tous ces flux.

L’UBO, lauréate de l’appel à projet Résilience 2

Le site de l’INSPÉ Rennes.
L’INSPÉ de Bretagne est une composante de l’UBO. Elle a notamment pour mission la formation des futurs enseignants (1er et 2nd degrés) et des personnels d’éducation et des psychologues de l’Éducation nationale.

L’un des 4 projets soumis par l’UBO a été retenu lors du second appel à projets, dit Résilience 2, lancé par le Gouvernement dans le cadre du plan de sobriété énergétique.
L’AAP Résilience 2 a pour objectif d’améliorer la souveraineté énergétique de la France et de participer à l’objectif de réduction de 10 % de la consommation énergétique d’ici 2024, en réduisant les consommations et la dépendance aux énergies fossiles du parc immobilier de l’État et de ses opérateurs.
Le financement obtenu va permettre de soutenir à hauteur de 145 000 euros, le remplacement du système de chauffage des bâtiments du site de formation de Rennes de l’INSPÉ de Bretagne. La chaufferie gaz sera remplacée par un raccordement au réseau de chaleur urbain de la métropole rennaise.

Le gain énergétique attendu est de l’ordre de 15%.
Les travaux seront réalisés avant fin janvier 2024 afin de réduire les consommations énergétiques de l’hiver 2023/2024.

Du 8 mai au 9 juin, tous en selle pour le challenge « Tout à vélo 2023 »

« Tout à vélo » , c’est quoi ?

Cette année, le défi régional « Tout à vélo » revient dans 9 villes bretonnes : Brest, Concarneau, Carhaix, Lannion, Lorient, Morlaix, Quimper, Redon-Pontchâteau et Vannes.

Créé en 2015, ce challenge répond à trois objectifs majeurs : 

  • limiter l’usage de la voiture individuelle dans les mobilités quotidiennes ;
  • promouvoir le vélo, une des solutions de mobilité bas carbone ;
  • convertir du temps de trajet en temps d’activités sportive et lutter contre la sédentarité.

Tous les publics cyclistes peuvent participer à « Tout à vélo » : enfants, seniors, valides et personnes en situation de handicap, salariés et personnes sans emploi, cyclistes du quotidien expérimentés ou non.

L’objectif, comme les années précédentes, est de parcourir le plus de kilomètres à l’aide d’un vélo classique ou à assistance électrique, au cours des 5 semaines, en équipe ou individuellement !

Pour cela, tous les déplacements utilitaires sont acceptés, c’est-à-dire, tous ceux pour lesquels on prend son vélo plutôt qu’un autre mode de transport : déplacement domicile-travail, courses, accompagnement d’enfants, rendez-vous médicaux, réunions d’associations, visites aux ami(e)s mais pas la balade dominicale ou la sortie sportive.

Brestois, Morlaisiens, Quimpérois, Vannetais,  vous êtes donc tous invités, en groupe ou individuellement,  à utiliser votre vélo lors de vos trajets utilitaires, du 8 mai au 9 juin 2023.

Comment cela fonctionne ?

Tous les trajets au quotidien enregistrés sur le site Internet de l’organisation du challenge la plus proche de votre territoire sont pris en compte, et des classements sont établis en individuel et par équipe.

Il est possible de vous inscrire, à tout moment et jusqu’au 9 juin, sur la plateforme http://www.challenge-velo.bzh/ en sélectionnant votre territoire. Il vous suffira ensuite de cliquer sur « connexion » dans la barre du menu.

Les personnes ayant déjà participé  à ce challenge l’année précédente pourront se reconnecter. Pour les autres, il faudra cliquer sur « inscription » et créer son compte personnel.

3 possibilités s’offriront alors à vous :

  • Rejoindre une équipe déjà inscrite,
  • Créer une équipe via le menu « les équipes »,
  • Rejoindre  l’équipe « Je suis tout seul », dans le cas où vous ne sauriez pas quelle équipe intégrer

Il ne vous reste plus qu’à déclarer vos trajets quotidiens sur le site du challenge et cumuler ainsi des points pour un classement par équipe, en individuel et inter-ville.

Toutes les informations complémentaires sont accessibles sur la page « Règles du challenge ».

Pour motiver et valoriser les efforts des participants, différents prix seront remis aux lauréats. Vous pourrez donc gagner des lots, mais aussi et surtout, la satisfaction de participer à la réduction de notre empreinte carbone !

Rejoignez les équipes UBO !

Les équipes UBO n’attendent plus que vous pour cette nouvelle édition !

Un atout de taille pour les participants : l’atelier d’autoréparation vélo de l’UBO. Tous les mardis midi,  à l’IUT de Brest et à l’IUEM à Plouzané, une équipe bénévole accueille les cyclistes avec tous les outils nécessaires et même quelques pièces de dépannage (chambres à air, câble de freins…). L’occasion de réviser sa monture avant le coup d’envoi.

Bonne chance à eux et à tous les participants !

L’atelier autoréparation de l’UBO vous attend pour réviser votre vélo avant le grand départ.


Aires d’écomobilité « in progress… »

L’UBO agit au quotidien, avec l’aide de tous ses acteurs, pour adopter un fonctionnement durable et raisonné, favoriser de nouveaux usages plus respectueux de l’environnement, et ainsi réduire son empreinte écologique. Dans cette optique, l’université encourage ses personnels et étudiants à utiliser des modes de transport alternatifs à la voiture individuelle. C’est l’objectif des 3 nouvelles aires d’écomobilité en construction sur le campus du Bouguen.

Le campus du Bouguen accueillera bientôt 3 nouvelles aires d’écomobilité accessibles aux personnels et étudiants. 
Elles seront implantées sur :

  • le parking de la faculté Sciences et Techniques ;
  • le parking entre l’IUT et la faculté de Droit, Économie, Gestion et AES ;
  • le parking du Suaps.

Chacune comportera un abri à vélo sécurisé de 20 places, des places de stationnement dédiées au covoiturage et des places de stationnement avec borne de recharge pour véhicules électriques.
Les travaux sont actuellement en cours pour une mise en fonctionnement prévue en juin.

Entre l’IUT et la faculté de Droit, Économie, Gestion et AES, l’aire prend forme. L’abri à vélos sécurisé est déjà installé.

Cet équipement bénéficie du soutien financier du Fonds européen de développement régional (FEDER).

La face cachée du numérique (Part. 2)

Au travail aussi, il est possible d’agir pour l’environnement ! Forte de cette conviction, l’UBO a démarré, en mai 2022, une campagne d’1 an à destination de ses personnels. Cet écogeste est le 11e de la série.

L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) estime que le numérique serait responsable de 4 % des émissions de gaz à effet de serre. Des gestes simples peuvent pourtant nous permettre de réduire notre empreinte numérique.

Du bon usage des courriels

Au quotidien, ce sont des dizaines de messages qui se bousculent dans nos boîtes : courriels, lettres d’information, publicités, etc. Or, chaque courriel reçu est archivé dans des centres de données qui fonctionnent 24h/24, 7 jours/7. Pour vos échanges professionnels comme personnels, quelques réflexes à adopter :

  • quand vous envoyez un message, ciblez vos destinataires.
  • n’utilisez la fonction « répondre à tous »‬ que si cela est nécessaire.‬‬‬
  • supprimez les pièces jointes d’un message auquel vous répondez.
  • privilégiez les liens hypertextes, URL, liens de téléchargements à l’envoi d’un document en pièce jointe.
  • si vous optez pour la pièce jointe, optimisez-la : fichiers compressés, images et PDF basse définition…
  • pour vos échanges professionnels, créez plusieurs signatures : une signature avec logo pour les courriels officiels ou les prises de contact, et une sans‬ image pour les échanges internes et les contacts déjà‬ bien établis.‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬‬

Recherche web : allez au plus court

L’impact d’une requête web dépend du temps de recherche et du nombre de pages consultées. Pour optimiser vos recherches sur internet et leur consommation en énergie, pensez à :

  • saisir directement l’adresse URL lorsque vous la connaissez plutôt que de passer par un moteur de recherche.
  • enregistrer les sites que vous utilisez régulièrement dans vos favoris. Ce geste divise par quatre les émissions de gaz à effet de serre émises.
  • vider régulièrement le cache de votre navigateur.

À LIRE : La face cachée du numérique (Part. 1)