DDRS ? vous avez dit DDRS ?

Le 8 février 2018,  une vingtaine de volontaires, enseignants, administratifs, étudiants a engagé une réflexion pour que l’établissement puisse se doter d’un schéma directeur du développement durable et responsabilité sociétale (DDRS) à l’horizon fin 2018. Le groupe est piloté par Natalia Leclerc, VP Culture et Développement Durable et Annick Cieters, Chargée de projet DDRS. Il s’appuiera sur un référentiel développé par la Conférence des Présidents d’Université (CPU) et celle des grandes écoles, pour établir un état des lieux des pratiques à l’UBO et construire son plan d’actions autour de cinq thématiques dont les grandes lignes et les principaux objectifs sont dévoilés ci-dessous :

1.      Stratégie et gouvernance : Formaliser une politique DDRS pour l’UBO, intégrer cette politique transversale à l’ensemble des services et directions de l’UBO, sensibiliser aux pratiques durables pour la construction d’une société responsable dans ses dimensions économique, sociétale et environnementale ?

2.      Enseignement et formation : Intégrer les problématiques DDRS dans les programmes et enseignements (FI, FC, apprentissage, alternance, doctorat), favoriser et accompagner le développement des compétences DDRS des étudiant-e-s et des personnels dans le cadre de la formation et hors formation (initiatives étudiantes), favoriser le développement d’une société de la connaissance respectueuse des principes du DDRS

3.      Recherche : Promouvoir la recherche interdisciplinaire DDRS de l’UBO au niveau territorial, national et international, prendre en compte les impacts DDRS dans la conduite des projets de recherche et mettre en place des recommandations pour les améliorer, mettre la recherche DDRS au service des formations et de la pédagogie, diffuser les résultats de la recherche DDRS au niveau territorial, national et international, transférer les résultats de la recherche.

4.      Gestion environnementale : Développer une politique de diminution des émissions de GES et de réduction de la consommation des ressources, intégrer des critères environnementaux, sociaux et énergétiques aux cahiers des charges sur le bâti, mettre en place une politique incitative de déplacements doux, une politique d’achats responsables, un management énergétique de l’UBO et des actions pour améliorer le comportement des personnels et étudiant-e-s, optimiser la consommation d’eau, développer une politique de prévention et de réduction des atteintes à l’environnement (notamment déchets dangereux, non dangereux, DEEE), développer une politique en faveur de la biodiversité.

5.      Politique sociale et ancrage territorial : Favoriser une politique humaine et sociale de parité et de diversité au sein des personnels, valoriser et développer les compétences et la mobilité interne, développer une politique de qualité de vie à l’UBO (politique de prévention, santé, sécurité), favoriser une politique d’égalité des chances pour les étudiant-e-s jusqu’à leur insertion professionnelle, impliquer l’UBO sur ses territoires au travers de sa politique DDRS.

 

Cinq réunions en groupes thématiques et deux réunions plénières seront organisées de février à mai 2018.

Pour nous contacter, une adresse: DDRS@univ-brest.fr

 

 

Se nourrir, à quels prix ?

Samedi 27 janvier 2018 – Amphi Guilcher – Faculté Ségalen, UBO – Brest
FORUM ouvert à tous

La qualité de l’alimentation et du cadre de vie est devenue une préoccupation majeure pour la population Celle-ci s’inquiète de plus en plus d’un modèle agro-industriel productiviste qui s’éloigne de l’agriculture paysanne, tourne le dos aux consommateurs et aux citoyens, et contribue à l’appauvrissement des terres et à la dévitalisation des zones rurales.
Face à ce modèle dominateur, une autre agriculture cherche à se développer, plus humaine, plus proche des citoyens et de la nature, plus qualitative et créatrice d’emplois.
Faisant appel à de nombreux experts, agronomes, économistes, scientifiques, médecins, paysans engagés dans une agriculture à échelle humaine, le Forum « se nourrir, à quels prix » sera l’occasion d’une réflexion sur le projet agricole et alimentaire breton.
Les Etats généraux de l’alimentation n’ont pas permis de faire vivre dans les régions ces débats essentiels pour l’avenir de nos territoires.
Le Forum « se nourrir, à quels prix » vise à combler ce vide pour la Bretagne.


PROGRAMME

9h30 : Mot d’accueil de l’UBO
9h45 : Introduction
  • Cécile Claveirole, ingénieur agricole, pilote du Réseau agriculture de France Nature Environnement (FNE),  membre du Conseil économique, social et environnemental (CESE), rapporteure de l’avis sur la transition agroécologique et co-rapporteure de celui sur la bonne gestion des sols agricoles
  • Le mot des associations de consommateurs (UFC Que choisir et Consommation Logement Cadre de Vie)
10h30 : 1ère Table ronde : le modèle agricole breton dominant.
  • Philippe Le Goffe (universitaire, économiste)
  • Pierre Bellec (expert de l’économie agricole et agro-alimentaire)
  • Jacques Caplat (agronome et anthropologue, administrateur d’Agir Pour l’Environnement)
  • Yvon Cras (agriculteur, porte-parole de la Conf paysanne)
  • Témoignages
12h30 : Pause déjeuner bio
13h30 : Deuxième table ronde : les conséquences pour le territoire et ceux qui y vivent
  • Pierre Aurousseau (scientifique, Agrocampus Rennes)
  • Gael Durand (scientifique, Labocea)
  • Jean-Michel Jedraszak (médecin)
  • Gilles Huet (Délégué Général Eau et Rivières de Bretagne)
  • Témoignages
15h00 : Pause
15h30 : Troisième table ronde : quelles solutions possibles pour l’agriculture bretonne ?
  • Jacques Caplat (agronome, anthropologue, administrateur d’Agir Pour l’Environnement)
  • Jean-Claude Balbot  (administrateur du CIVAM)
  • Pierre Bellec et Philippe Le Goffe (économistes)
  • Xavier Hamon (restaurateur, Chef de cuisine et coordinateur français de l’Alliance Slow Food des chefs)
  • Témoignages
17h00: Conclusion
  • Cécile Claveirole(CESE et France Nature Environnement)
17h30 : Fin du Forum

À la découverte de la biodiversité canadienne

L’association Broussailles, en partenariat avec la bibliothèque universitaire du Bouguen, organise une exposition photographique sur le thème des parcs naturels québécois. Cet évènement constitue un retour d’expérience d’un séjour de 10 jours au Québec par 21 étudiants appartenant à l’association du master Gestion et Conservation de la Biodiversité.

L’exposition relate un voyage étudiant au Québec, qui a eu lieu au mois de septembre 2017. Ce voyage a été organisé par l’association Broussailles qui réunit les étudiants du master Gestion et Conservation de la Biodiversité.

L’objectif de cette exposition est de faire découvrir le Québec et ses paysages à travers 25 photos et des objets ramenés du voyage. Elle se déroulera du 15 janvier au 20 février avec l’organisation d’un vernissage, le 17 janvier à 18h30 à la bibliothèque universitaire du Bouguen.

La réalisation de cet ambitieux projet a été possible grâce au soutien de l’Université de Bretagne Occidentale, du Fonds de Solidarité et de Développement des Initiatives Étudiantes, de l’Office Franco-Québécois pour la Jeunesse et de Brest Métropole.

Nous espérons que vous prendrez autant plaisir à participer à notre évènement que nous en avons eu lors de notre séjour au Québec.


Broussailles

L’association « Broussailles » est régie par la loi du 1er Juillet 1901 et le décret du 16 Août 1901. Elle a pour objectif de représenter les étudiants du Master Gestion et Conservation de la Biodiversité. Broussailles permet également aux étudiants d’accéder à des ressources et à partager des connaissances à l’intérieur et à l’extérieur de l’Université.

Ses principales actions concernent des inventaires floristiques/faunistiques, des états des lieux environnementaux ou de la médiation scientifique. Nous étions notamment présents à la Fête de la Sciences de Brest.

 

Des étudiantes et étudiants de l’UBO proposent des projets concrets aux écoles de Brest

Du 18 au 22 décembre 2017, trente-trois étudiants de licence 3 d’Administration Economique et Sociale – parcours Administration et Gestion des Territoires – ont participé à un « Jeu de territoire ».


Objectif : proposer un projet de transition écologique, réaliste et en lien avec les attentes des acteurs du territoire, dans une école de Brest.
Pendant une semaine, ils ont rencontré des dizaines de personnes – directeurs d’école, services techniques, éducatifs, sociaux de la métropole, associations…-, mesuré les enjeux, identifié les ressources mobilisables, compris les dynamiques des quartiers et des acteurs mobilisés ou réticents, réfléchi à la manière de passer d’une idée (plus ou moins utopique) à sa réalisation concrète, en intégrant des contraintes politiques, réglementaires, économiques et sociales.


Sept groupes d’étudiants et d’étudiantes ont ainsi travaillé sur les projets suivants:

– Renforcer la solidarité alimentaire sur le quartier de l’Europe (avec l’école de Pen ar Streat)
– L’école, lieu de production d’énergie (avec l’école Sanquer)
– Acquisition du label Eco-écoles par les écoles brestoises : le cas de l’école de Kerinou
– Les « nudges », outils d’incitation douce à la lutte contre le gaspillage (avec l’école Freinet)
– Catalogue des ressources éducatives autour du cycle de l’eau (avec l’école du Forestou)
– Déplacements solidaires et citoyens (autour de l’école Ferdinand Buisson)
– Les Poules de Kerhallet, projet solidaire et intergénérationnel d’installation d’un poulailler à Bellevue (avec l’école Kerhallet)
A l’issue de cette semaine, les projets des étudiants n’apparaissent donc plus aussi fictifs… certains ont même des chances d’aboutir à court terme ou, en tout cas, de contribuer à la dynamique d’acteurs autour du développement durable sur les différents quartiers de la rive gauche.

Par ailleurs, Brest Métropole accueillera deux stagiaires de la formation au printemps afin d’assurer le suivi de ces projets et renforcer le lien entre l’Université et la Métropole.

 

Les enseignants-chercheurs : Bénédicte Havard Duclos, Matthieu Leprince, Alix Levain, Pierre-Edouard Weill (département AES, UFR Droit-Economie-gestion-Administration)

Des élèves de primaire à l’IUEM pour réfléchir sur l’océan

L’Institut Universitaire Européen de la Mer (IUEM) a accueilli le 16 novembre des élèves des CM1 et CM2 de l’école du Vizac de St Renan. Les enseignants de ces deux classes ont mené en 2016-2017 un projet autour de l’impact des plastiques dans l’océan dans le cadre de « jeunes reporters des arts et des sciences » coordonné par Océanopolis et accompagné par des chercheur∙euse∙s et ingénieur∙e∙s, dont beaucoup de l’IUEM.

Les élèves et leurs enseignants ont travaillé sur le plan artistique en réalisant des sculptures d’animaux marins utilisant des éléments naturels et des éléments plastiques, et sur le plan scientifique en se projetant dans la peau de scientifiques du futur découvrant des animaux ayant assimilé dans leur corps des éléments plastiques. Ce faisant, ils ont parfaitement intégré les enjeux de la préservation de la mer et du littoral comme ils nous l’ont montré lors d’une présentation théâtralisée de leur travail à l’IUEM le 16 novembre. Ces enfants de 8 – 9 ans ont rappelé aux adultes que nous sommes qu’ils ne sont ni trop jeunes, ni trop insouciants pour se préoccuper de développement durable et qu’il est possible de le faire avec joie, beauté et plaisir.

Leurs œuvres égaient les murs du laboratoire AMURE à l’IUEM, interpellent et réjouissent. Deux ingénieur∙e∙s et doctorant∙e∙s de l’IUEM ont eu un grand plaisir à partager une journée avec ces enfants enthousiastes et à réaliser des expériences avec eux leur permettant de découvrir comment le CO2 produit de l’acidification de l’océan. Après la pollution par les macro-plastiques, ils ont ainsi travaillé sur la pollution de l’air et sur le mécanisme qui induit l’acidification des océans. Cette question de l’acidification des océans et de ses incidences sur les coquillages notamment nous a amenés à échanger sur les rapports entre les humains et les coquillages, via la conchyliculture, la perliculture.

Ces sujets ne sont pas simplement des prétextes à sensibiliser les enfants aux méthodes et outils scientifiques. Loin d’être anecdotiques, ils étaient au cœur de discussions sur le climat et l’océan à la COP23 à Bonn au début de ce mois de novembre à laquelle quatre membres de l’UBO ont participé. De la COP aux salles de classes, l’université de Brest joue pleinement son rôle de passeur de savoirs et d’acteur de la société, intégrée à la vie de la cité et concerné par la prise en compte par la société des grands enjeux tels que ceux du développement durable.

Crédit Photos: Séverine Julien

L’UBO à la COP23 : l’océan au cœur de l’action

Le 10 et 11 novembre 2017, une délégation de l’UBO s’est rendue à la COP23, à Bonn, pour participer à la réflexion sur les enjeux qui lient l’océan au bouleversement climatique. Elle a participé à deux journées durant lesquelles ont été rappelés les impacts de ce dérèglement sur l’océan comme écosystème, certes, mais où ont aussi été abordées les questions de pêche et aquaculture, de déplacements de populations ou encore d’énergies marines, de carbone bleu, et de financement.

La délégation a également participé à la réunion de l’Alliance des Initiatives Océan Climat (https://ocean-climate-alliance.org), projet porté par la POC (Plateforme Océan Climat : http://ocean-climate.org/?lang=en) dont l’UBO est membre, et est à ce jour la seule université dans ce cas. Cet organisme est particulièrement important dans la mesure où il est à l’origine de la campagne qui a permis la prise en compte de l’océan dans les Accords de Paris.

Elle a enfin proposé la tenue, pour la prochaine COP, d’un pavillon Océan, idée que la présidence fidjienne de la COP23 a reprise et dont la réalisation est souhaitable pour accentuer la prise en compte de l’importance de l’océan dans les processus climatiques et des impacts qu’il subit.

En effet, l’océan a la particularité d’être à la fois un élément fondamental dans la régulation de la machine climatique, et victime du réchauffement. Régulateur parce qu’il absorbe 25% du CO2 et 97% de la chaleur supplémentaire que les humains émettent. En particulier, les écosystèmes côtiers jouent un rôle majeur dans la séquestration du carbone. Victime, parce que cette absorption a des conséquences graves sur sa composition : aujourd’hui, son acidité a augmenté de 25% par rapport à l’ère préindustrielle (plus exactement, il est de 25% moins basique), ce qui influence les processus de calcification, et contribue notamment à la destruction des récifs de coraux. Victime encore par la désoxygénation qu’il subit, de 2% en moyenne, mais avec un taux pouvant aller jusqu’à 30% au large de la Californie. Les dead zones ainsi créées ne permettent plus la vie d’espèces macroscopiques.

Il est donc crucial que les enjeux liés à l’océan constituent un axe majeur de la réflexion et des négociations climatiques et la COP24, qui dressera le bilan des engagements destinés à juguler le réchauffement climatique à 1,5° C, ne pourra se passer d’une compréhension solide de ces questions.

C’est d’autant plus fondamental que le bilan de la COP23, quelques jours après sa clôture, reste mitigé. Certes, aucun accord n’était attendu à l’issue des négociations qui se sont tenues cette année ; leur rôle essentiel était de permettre l’accélération de la mise en œuvre des objectifs des Accords de Paris, qui sera, elle, discutée à la COP24, en 2018. En effet, dans l’état actuel des choses, le réchauffement risque de se situer autour de 3° C en moyenne (ce qui signifie des hausses bien plus élevées dans les pays chauds ; ainsi des hausses de 8° C sont attendues dans certaines régions d’Afrique). Pour cela, la présidence fidjienne de la COP23, qui garde ce statut jusqu’à la prochaine COP, a proposé de tenir en 2018 un « dialogue de Talanoa », une manière venue des cultures du Pacifique de discuter de manière constructive, de débattre pour aller vers une décision communément acceptée.

Pour autant, malgré l’urgence reconnue de la nécessité de l’action, des résultats encourageants peinent à faire jour – et l’année 2017 a en effet vu le redémarrage à la hausse des émissions de CO2, tandis que certains pays comme l’Inde connaissent des alertes à la pollution jamais vues. Les financements nécessaires à l’action climatique, et notamment au Fonds destiné au soutien aux pays en développement, premières victimes du changement climatique, à la fois par leur situation géographique dans des zones sensibles, et par leur situation économique vulnérable, restent nettement insuffisants. Or à Bonn, les pays développés sont presque tous venus sans apports pour ce Fonds. De plus, les observateurs ont remarqué qu’aucun leader de l’action climatique ne se dégageait à l’issue de cette COP, et que des tensions internationales jusque là atténuées tendaient à reparaître.

Pour clore ce rapide état des lieux sur une note positive, notons toutefois que si les négociations qui se sont tenues en zone officielle ont laissé une impression décevante, le dynamisme de l’action perceptible dans la zone de la société civile était lui encourageant.

Un chef papou à l’UBO pour évoquer les menaces de la déforestation

Mundiya Kepanga est un chef papou de la tribu des Hulis. Né en Papouasie-Nouvelle-Guinée, il vit toujours au cœur de l’une des dernières forêts primaires du monde. Mundiya souhaite alerter le public sur une situation de plus en plus inquiétante : la déforestation qui a pris des proportions dramatiques dans son pays et qui, si elle se joue pour l’instant loin de l’Occident, a un impact sur l’avenir de toute l’humanité.
Héritier d’une culture ancestrale de tradition orale, Mundiya aime partager les légendes et les histoires de sa tribu. Fort de ses connaissances du monde occidental, son regard s’inscrit comme un pont entre deux mondes. Malicieux, il aime poser des questions simples qui mettent le doigt là où ça dérange. L’écouter parler de la forêt nous fera prendre du recul sur nos actes, tout autant que de la hauteur. Passeur d’exception, Mundiya nous entraînera dans un voyage poétique et inédit, au cœur de la forêt. Avec ses mots, pour la première fois, la forêt sera racontée par une « voix de la forêt ».
Marc Dozier, photographe et réalisateur, a une prédilection pour les sujets où l’être humain tient une place essentielle, et il partage chaque année la vie de différentes tribus dont il parle la langue véhiculaire, le pidgin, afin de répertorier la richesse de ces sociétés traditionnelles et de témoigner des profondes mutations sociales et culturelles qu’impose la confrontation avec le monde moderne. Particulièrement sensible aux questions de l’ethnocentrisme, son travail l’a conduit à s’interroger sur le regard que nous posons sur nous-même et sur les autres. En parallèle à son intérêt pour la Papouasie-Nouvelle-Guinée, il explore ainsi la diversité du monde avec des séries photographiques qui mettent en valeur la richesse humaine dans un esprit de tolérance et de respect.

 

Premier anniversaire du Pen ar Bouguen, le Jardin Partagé de la PepSE!

A l’occasion du premier anniversaire du Jardin Partagé se situant au Bouguen, la PepSE a lancé un jeu concours afin de lui trouver un nom. Le jardin va dorénavant s’appeler « Pen ar Bouguen ».

Pour célébrer ce changement, nous vous invitons à l’inauguration du nouveau nom qui se déroulera le mercredi 25 octobre à 15h au jardin, 4T avenue Le Gorgeu, entre le CLOUS et la Faculté des Sciences. Un goûter et des animations seront proposés sur place. Vous trouverez ici l’événement Facebook de l’inauguration.

Au plaisir de vous y voir !

Le Coding goûter avec Les Filles qui…, c’est mercredi 18 octobre

Dans le cadre du festival Brest en communs, Les Filles qui…,  collectif d’étudiantes de l’UBO, qui montrent l’exemple des sciences au féminin, organisent un coding goûter pour les enfants à partir de 5 ans.
C’est mercredi 18 Octobre 2017 de 16 à 19 heures,
dans le hall du pôle numérique du Bouguen

Pendant un coding gouter, on mange des gâteaux, on boit de la limonade,
on apprend à faire du Scratch, un environnement de création multimédia,
on commence à programmer des petits robots et à les contrôler.

C’est ouvert à toutes et à tous, et on vient le temps qu’on veut.

Le lien vers le programme du festival Brest en communs

http://wiki.a-brest.net/images/6/6a/ProgrammeBC_2017.pdf

et le lien vers le coding goûter

http://wiki.a-brest.net/index.php/Coding_goûter_en_scratch

Les Filles qui…

Interviennent dans les écoles, du CP au CM2, dans le cadre d’une convention entre l’UBO et l’Inspection Académique du Finistère appelée ASTEP (›ASTEP : Accompagnement en Sciences et Technologies à l’Ecole Primaire).

Elles enseignent Scratchhttps://scratch.mit.edu), communauté d’apprentissage créatif avec 25 millions de projets partagés (biologie, chimie, info, maths, physique…)

›Elles encadrent le programme Savanturiers, un projet de recherche dans les classes, mentoré par une fille qui … est doctorante, accompagnée de filles qui … sont en L2. Ce projet développe l’esprit critique de l’élève, sa volonté d’explorer l’inconnu et de travailler en coopération.

Une envie de prendre l’R ?

La Recyclerie Un peu d’R, dont le principe est de récupérer des objets inutilisés et de leur redonner une seconde vie afin de réduire les déchets, investit la BU du Bouguen le lundi 23 octobre 2017, de 12h à 14h, en partenariat avec la PepSE (Pepinière des Solidarités Etudiantes) pour divers ateliers de troc, de fabrication de meubles et tout simplement pour donner de l’information.

La PepSE a pour but d’accompagner les projets des étudiant-e-s, que ce soit au niveau financier, matériel ou humain, mais également d’ouvrir le campus sur ses alentours, comme notamment les quartiers de Bellevue ou Kérinou.

C’est pour cela que la PepSE a décidé, cette année, de travailler en partenariat avec la Recyclerie Un peu d’R implantée sur le quartier de Kérinou.

La Recyclerie Un peu d’R dispose de deux locaux à Brest :

– L’EntRepôt, situé au 35 rue Georges Bizet, est ouvert le lundi de 14h à 18h et le vendredi de 9h à 12h.

– La boutique « De la cave au grenier », située au 77 rue Auguste Kervern est ouverte du lundi au vendredi, de 9h30 à 12h30 et de 14h30 à 18h mais également le premier samedi de chaque mois de 10h à 16h.

 

http://www.pepse-brest.fr/node/77