Portrait de Gwendal Quiguer, assistant ingénieur développement durable

Gwendal Quiguer a rejoint récemment la direction du Patrimoine. Rencontre avec le nouvel assistant ingénieur développement durable de l’UBO.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur votre parcours ?

Gwendal Quiguer : Après une licence en géographie à l’UBO, un master d’urbanisme et une licence d’administration à l’IPAG, je me suis spécialisé dans les questions de mobilité. J’ai été bénévole, puis salarié, de l’association Brest à Pied et à Vélo (BaPaV), mais également en poste à Brest métropole ou à l’Adeupa sur ces questions. Au-delà de cette thématique qui me passionne, ce sont plus globalement les questions de l’écologie et des inégalités qui guident mes engagements personnels et professionnels.

Quelles seront vos missions au sein de l’UBO ?

G. Q. : Je suis en charge de la mise en place d’un plan de mobilité. Ma première tâche va consister à recueillir des données sur les habitudes de déplacements des étudiantes et des étudiants, mais aussi des personnels, sur les infrastructures existantes et sur les diverses mesures déjà mises en place visant à diminuer l’impact carbone des déplacements (télétravail, visioconférences, forfait mobilité durable…). Il s’agira ensuite de traiter toutes ces données pour avoir une analyse de notre situation de départ et pour proposer des pistes d’optimisation au plus près des besoins et des possibilités. Par ailleurs, mon rôle va consister à appuyer Marie-Amélie Lacroix, ingénieure développement durable et responsabilité sociétale (DDRS), sur toute la politique DDRS de l’UBO.

Quelques semaines après votre prise de fonction, quelles sont vos premières impressions ?

G. Q. : C’est agréable d’arriver dans une structure aussi motivée pour faire bouger les choses. De nombreuses mesures sont déjà en place : des ambassadrices et ambassadeurs développement durable dans les composantes, le forfait mobilité durable, des abris vélo sécurisés installés l’an dernier avec l’aide de SEA-EU… On ne part pas de zéro, loin de là. De plus, et c’est l’avantage d’être dans une grande organisation, l’UBO compte un grand nombre d’expertes et experts dans leur domaine qui permettent de faire avancer rapidement de nombreux sujets. Je dois encore me familiariser avec le fonctionnement de l’université, des composantes et leurs spécificités, analyser les études et mesures réalisées, me rendre sur place pour me rendre compte de la réalité de chaque site… ce qui va me demander un peu de temps bien sûr. Mais, globalement, je suis optimiste sur mes missions et sur la possibilité d’arriver à de vrais changements de pratiques qui seront bénéfiques pour la communauté UBO, le territoire et le climat.

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