Le transport maritime face aux changements climatiques: journée d’étude

Comme vecteur majeur de la mondialisation, totalisant 80% du commerce international, le transport maritime joue un rôle important dans les équilibres environnementaux de la terre. La participation effective de cette activité humaine aux changements climatiques en raison de l’émission de gaz à effet de serre peut aujourd’hui être précisément mesurée. Dans une perspective inversée, l’espace dans lequel le transport maritime se déploie est soumis aux risques de mer qui dépendent justement des conditions climatiques. Mais, avant d’être pour les hommes le siège d’activité économique, l’océan est avant tout un système régulateur du climat mondial. Les liens entre le transport maritime, l’océan et le climat sont donc particulièrement complexes. La prise en compte des changements climatiques, du point de vue de la lutte contre celui-ci comme de l’adaptation qui en découle, va modifier nombre d’aspects du transport maritime. Les routes maritimes, les caractéristiques techniques des navires, la gestion des infrastructures portuaires devraient évoluer en fonction des impératifs des changements climatiques. Le droit maritime se trouvera alors au défi d’évoluer et d’innover comme il l’a souvent fait par le passé. En raison de l’enjeu planétaire, les instruments de ces évolutions sont avant tout à rechercher dans le droit international, et en premier lieu dans les règles issues de l’Organisation maritime internationale, ainsi que dans le droit de l’Union européenne soucieux de concilier les intérêts d’une activité performante et les exigences de la défense de l’environnement.

Cette journée d’étude a pour but de comprendre comment et avec quels instruments juridiques, les acteurs (opérateurs et régulateurs) du transport maritime abordent l’interaction entre le transport maritime et la question des changements climatiques.

Programme provisoire

Vendredi matin

8h30 – Accueil des participants

8h45 – Allocutions d’ouverture

Yves-Marie Paulet, Vice-président Mer, UBO
François-Xavier Roux-Demare, Doyen de la faculté de Droit, Économie, Gestion et AES
Olivier Thébaud, directeur de l’UMR 6308 AMURE, Centre de droit et d’économie de la mer

9h15 – Mises en perspective

Président des séances de la matinée: Valère Ndior, Professeur agrégé de droit public, Lablex, UBO

  •  Le transport maritime et les changements climatiques, mise en perspective en géographie
    Eric Foulquier, Maître de conférences en géographie, LETG UMR 6554, UBO
  • Le transport maritime et les changements climatiques, mise en perspective en économie
    Corinne Bagoulla, Maître de conférences en économie, LEMNA, IAE (économie et management), Université de Nantes
  • Les défis posés au droit maritime par les changements climatiques
    Gaël Piette, Professeur agrégé de droit privé, CRDEI (EA 4193), Université de Bordeaux

Débats

10h45 –  Pause-café 

 11 h 00 – Les institutions et leur action en matière de transport maritime pour limiter les effets des changements climatiques

  • L’action internationale : OMI/ONU
    Guillaume Le Floch, Professeur agrégé de droit public, Institut du droit public et de la science politique, UMR_C 6297 Droit et changement social, Université de Rennes I
  • Transport maritime/Changement climatique et Union européenne
    Loïc Grard, Professeur agrégé de droit public, Chaire Jean Monnet, président de la « CEDECE association d’études européennes », directeur du CRDEI (EA 4193), Université de Bordeaux

Débats

12h15 – Déjeuner libre

Vendredi après-midi

 13h30 – Les conséquences des changements climatiques sur le transport maritime

Présidence de séance :  Gaëlle Guéguen-Hallouët, Professeure de droit public, UMR 6308 AMURE, UBO

  • Les nouvelles routes maritimes
    Mathilde Jacquot, doctorante, UMR 6308 AMURE, UBO
  • Droit du transport maritime et changements climatiques      
    Arnaud Montas, Maître de conférences en droit privé, HDR, UMR 6308 AMURE, UBO
  • Les infrastructures portuaires et les changements climatiques
    Nicolas Boillet, Maître de conférences en droit public, UMR 6308 AMURE, UBO

Débats

15h15 – Rapport de synthèse
Cécile De Cet-Bertin, Maître de conférences en droit privé, HDR, UMR 6308 AMURE, UBO

           

Organisation scientifique

Nicolas Boillet, Maître de conférences en droit public, UMR 6308 AMURE, UBO
Cécile De Cet-Bertin, Maître de conférences en droit privé, HDR, UMR 6308 AMURE, UBO
Gaëlle Guéguen-Hallouët, Professeure en droit public, UMR 6308 AMURE, UBO
Arnaud Montas, Maître de conférences en droit privé, HDR, UMR 6308 AMURE, UBO

Avec le soutien de

IUEM, Brest Métropole, UFR droit, économie, gestion et AES de l’UBO, Conseil départemental du Finistère

Participez à la plantation d’arbres à l’UBO!

Ce vendredi 23 novembre 2018, l’association Incroyables Comestibles revient à l’UBO avec trois nouveaux arbres à planter: deux châtaigniers et un pêcher.

Ils seront accueillis à l’arrière des amphis de Droit, et l’animation est gratuite et ouverte à toutes et à tous! Ce moment se veut convivial et participatif: venez nombreux-ses et équipé-e-s!

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la mise en valeur de nos espaces verts, en partenariat avec Incroyables Comestibles, qui a déjà planté trois arbres en Faculté des Sciences et Techniques le vendredi 9 novembre:

http://k6.re/3TPnS

Attention, changement de lieu!

La plantation a lieu à l’arrière de la faculté DEG

 

Kenavo aux mégots!

À l’occasion de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets, la PepSE organise un ramassage de mégots ce mardi 20 novembre 2018.

Rdv à la PepSE: le matériel nécessaire sera fourni!

Pour mieux connaître la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets:

https://serd.ademe.fr/

Festival Contre-Courant | 12 & 13 oCtobre 2018 – brest Invitation au voyage et sensibilisation à la protection de l’environnement maritime

Les 12 et 13 octobre 2018, au Parc à Chaines à Brest, le Festival Contre-Courant fera la lumière sur des propositions artistiques éclectiques et engagées et tentera ainsi de sensibiliser les publics à la protection de notre environnement maritime (conservation des littoraux, de la biodiversité) tout en invitant au voyage.

Sous l’impulsion de six étudiants, l’association brestoise ‘Tacle porte cette première édition de l’évènement.

Le Festival Contre-Courant s’est construit autour d’une volonté de partage et de questionnements sur le travail en réseau d’acteurs locaux. Cette dynamique se retrouve dans les choix des partenaires du Festival : La Recyclerie Un peu d’R, l’association CLIP, les étudiants de la toute nouvelle Licence Art de la Faculté Victor Ségalen et bien d’autres encore…

Par le biais de l’événement, les porteurs du Festival louent une prise de conscience écologique collective, selon eux, indispensable à l’heure actuelle. Plusieurs actions sont mises en œuvre pour y parvenir.

C’est sur cette même énergie que l’accès à l’évènement sera proposé à prix libre.

La création d’un imaginaire collectif par une riche programmation

Il tenait à cœur des initiateurs du Festival Contre-Courant d’inscrire dans la programmation des artistes émergents, représentatifs de la diversité et de la richesse culturelle du territoire finistérien et plus largement breton.
Différentes disciplines artistiques seront représentées sur les deux jours du Festival. Théâtre, performances et arts de la rue feront briller le Parc à Chaînes les après-midis lorsque la musique insufflera un nouveau souffle durant les soirées.

Les artistes programmes complètent et élèvent les valeurs portées par le Festival Contre-Courant. Réels acteurs d’un « vivre mieux », les propositions théâtrales et musicales portées par ces artistes amèneront les publics à s’interroger, échanger et s’émerveiller.

Des intervenants voyageurs

Les courts métrages et montages vidéo trouveront également leurs places dans la programmation du Festival Contre-Courant. Nous invitions des voyageurs, fervents défenseurs de la protection environnementale, à animer des débats avec le public du Festival, débats entrecoupés de projections vidéo retraçant leurs aventures, et explorations singluières…

C’est en ce point de réflexion, de questionnement qu’apparait la création d’un imaginaire collectif entre publics, artistes et acteurs divers de l’événement.

C’est en proposant des choix artistiques originaux, décalés et des approches à l’environnement maritime à travers des expériences variées et engagées que le Festival se définit à contre-courant.

Affiche Festival Contre-Courant-compressed

Festival Contre-Courant | 12 & 13 oCtobre 2018 – brest

festivalcontrecourant@gmail.com

communication

Clémence Rousselot : 06 60 34 83 14

Hugo Veyron : 07 89 82 67 97

événement Facebook : Festival Contre-Courant

INITIATIVE ELD – Economics of Land Degradation NIGER & SENEGAL

Un projet à suivre … plusieurs expéditions sont prévues en novembre et en février/mars
Le projet  

www.eld-initiative.org

L’Initiative ELD est liée aux objectifs de développement durable 15.3 (neutralité de la dégradation des terres) et 15.9 (considérer les valeurs des écosystèmes dans les processus de planification).

L’Initiative sur l’économie de la dégradation des terres (ELD) souligne la valeur de la gestion durable des terres et fournit une approche globale pour l’analyse de l’économie de la dégradation des terres. Elle vise à renforcer les capacités d’acteurs nationaux pour évaluer économiquement les coûts de la dégradation des terres et les bénéfices d’investissements en aménagement durable des terres agroforestières, dans un but de (meilleure) intégration de ces informations dans les processus de décisions politiques, notamment pour la mise en place et révision des politiques publiques.

Ce travail s’effectue à l’interface sciences-politiques publiques, dans le cadre du processus sur la neutralité de la dégradation des terres de la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la Désertification (UNCCD). L’UMR Amure de l’IUEM assure le suivi et l’appui scientifique de 4 cas d’étude au Niger et 4 cas d’étude au Sénégal.

Au Niger et au Sénégal

Le choix des zones d’étude pour les cas d’étude ELD à mettre en place a été discuté lors des ateliers de lancement de projet dans les pays en février puis lors des ateliers de formation ELD en avril 2018. Ainsi, au Niger, les 4 groupes de travail sont :

  • Niger Est (Didier Tidjani (Université Abdou Moumouni Niamey)) ;
  • Maradi (Salifou Nouhou Jangorzo (Université de Maradi)) ;
  • Tahoua (Amani Abdou (INRAN)) ;
  • Simiri-Ouallam (Fourera Douramane (CNSEE)).

Figure 1: Contraste de gestion sur le site de Youri, Niger (Crédits photos : Emmanuelle Quillérou)

Et au Sénégal, les 4 groupes de travail sont

  • Pata (Katim Touré (ENSA, Université de Thiès)) ;
  • Mbar Diop (Ibrahima Ndiaye et Mayoro Diop (ESEA)) ;
  • Kamb (Talla Gueye et Samba Sow (INP)) ;
  • Kaffrine (Diaminatou Sanogo (ISRA)).

Figure 2: Avancée de la mine sur les terres agricoles sur le site de Mbar Diop, Sénégal (Crédits photos : Emmanuelle Quillérou)

Ces quatre sites d’étude permettent de couvrir un large éventail pour l’évaluation économique, avec plusieurs cultures, plusieurs systèmes de cultures, plusieurs zones climatiques, plusieurs activités économiques, parfois des conflits d’usages, mais aussi différents aspects de dégradation des terres.

En juillet 2018, des réunions de coordinations ont eu lieu et ont permis d’échanger sur la documentation déjà compilée, la budgétisation, le calendrier du plan d’action et les différentes méthodologies à mettre en place pour l’évaluation des services écosystémiques. Les discussions ont permis d’éclaircir certains aspects de la méthodologie et d’établir un calendrier prévisionnel pour chaque cas d’étude. Les prochains ateliers de travail se feront en novembre (Dakar : 5-10 novembre et Niamey : 10-15 novembre).

Contacts

–                 Emmanuelle Quillérou : emma_amure@yahoo.com

–                 Laure Zakrewski : laure.zakrewski@univ-brest.fr

–                 Mohamadou Lamine Diedhiou : mohamadoulamined@gmail.com

Parution du guide « Objectifs du développement durable, quelles contributions des métiers de l’enseignement supérieur et de la recherche en France ? »

Le guide « Objectifs du développement durable, quelles contributions des métiers de l’enseignement supérieur et de la recherche en France ? » a été présenté  par la CGE et la CPU, le 27 juin 2018 au Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, à Paris.

Face aux aux défis environnementaux et sociaux sociaux du XXIe, il appartient a chacun de contribuer à la réalisation des 17 Objectifs de Développement Développement Durable (ODD) adoptés en septembre 2015 par les 193 pays membres des Nations Unies .

Ce guide a été développé pour mieux comprendre la place du DD&RS dans les métiers de l’ESR. Il apporte une série de réponses pratiques, axées sur les grandes familles de métiers propres à l’enseignement supérieur et à la recherche.

Il décline de façon approfondie, après une enquête menée auprès des réseaux de professionnels de l’ESR, les Objectifs du Développement Durable (ODD) selon chaque type de mission : 1- Dirigeant d’établissement  2- Enseignant et enseignant-chercheur 3-Pilotage et stratégie  4- Finances et comptabilité  5 – Achats  6- Patrimoine 7- Communication  8 – Système d’information (SI) et numérique  9- Ressources humaines  10- Hygiène et sécurité  11- Restauration  12- Vie étudiante  13- Orientation et insertion professionnelle  14- relations internationales

Pour consulter ce guide :

http://www.cpu.fr/publication/objectifs-de-developpement-durable-quelles-contributions-des-metiers-de-lesr-en-france/

L’université d’été Mer Éducation est repartie pour 2018 !

L’université d’été Mer Éducation est une formation interdisciplinaire à l’attention de tous les enseignants du second degré.

Appréhender les changements de l’océan et du climat, leur impact sur la biodiversité et les ressources marines, et in fine, sur les Hommes, nécessite une approche scientifique pluridisciplinaire. Au-delà des aspects fondamentaux de la connaissance du milieu océanique et de son évolution, l’Homme est d’abord un acteur de premier plan au cœur de l’océan mondial. Il a la capacité de changer ses pratiques collectives afin d’anticiper les changements de son milieu.

La formation portera sur :

–  les nouveaux défis pour mieux observer les océans

– les impacts déjà visibles des changements océaniques sur les écosystèmes et les ressources marines.

– La façon dont les scientifiques joignent leurs expertises pour appuyer les décisions réglementaires et juridiques, afin d’adapter les pratiques anthropiques aux changements de l’océan.

Toutes ces connaissances seront abordées de manière interdisciplinaire au cours des trois parcours thématiques qui permettront aux participants de rencontrer des équipes scientifiques issues de différentes disciplines des sciences physiques, bio-géochimiques, écosystémiques et des sciences juridiques et économiques.

– Parcours 1 : De l’expertise à la décision 

– Parcours 2 : Pour une meilleure observation des océans

– Parcours 3 : Impact des changements sur les océans

Enfin, des ateliers pédagogiques seront organisés afin d’expérimenter des outils, d’échanger des pratiques et des idées. Les enseignants auront ainsi un temps pour imaginer ensemble comment ils vont pouvoir exploiter en classe les connaissances acquises et les expériences vécues lors de l’université d’été Mer-Éducation 2018

Inscription et informations sur

https://www-iuem.univ-brest.fr/mer-education

 

La PEPSE vous invite à fêter la fin de l’année au jardin partagé du campus !

Vous voulez passer un moment convivial…

Rendez vous le mercredi 23 mai 2018 de 14h à 17h au jardin partagé du campus, 4T avenue Le Gorgeu

Au programme:

Ateliers parents-enfants – inscription souhaitée contact@PEPSE-brest.fr

  • Meubles en palettes
  • Fabriquer un hôtel à insectes
  • Fabriquer des jardinières avec du matériel de récupération
  • Découvrir le jardin partagé du campus

Venez nombreux, c’est gratuit, ouvert à toutes et tous !

14-18 mai 2018 à KEDGE BS Marseille, se tiendront les R2D2 à la “Global Responsibility, now…”, vers une mutualisation de l’impact

Du 14 au 18 mai 2018 à la « Global Responsibility, now » à Marseille, de nombreux réseaux et acteurs impliqués, venus des quatre coins du globe se réuniront et travailleront à accélérer l’impact systémique. Organisations étudiantes, groupes d’influence régionaux, partenariats internationaux, initiatives émanant des Nations Unies seront représentés pour cet événement unique. L’événement sera aussi l’occasion de renforcer le nouvel agenda  mondial pour le développement durable initié par les Nations Unies, en particulier la mise en œuvre des 17 Objectifs de développement durable (ODD).

« Global Responsibility, now » c’est…

  • Un rassemblement d’acteurs du changement qui travaillent sur des transformations contribuant au bien commun
  • L’occasion de réfléchir à l’innovation relationnelle nécessaire pour gérer la dynamique de compétition (compétition/collaboration) qui existe dans ce contexte
  • La volonté de changer de cap pour promouvoir un impact mondialement responsable grâce au pouvoir de l’apprentissage et de l’enseignement supérieur transformationnels.

« Les Rendez-vous des Référents du Développement Durable »

  • Au sein de la « Global Responsibility, now » se tiendront « Les Rendez-vous des Référents du Développement Durable » (R2D2), événement annuel qui réunit, sur deux journées, au sein d’une ou plusieurs écoles, les membres de la CGE représentés par leurs référents développement durable et responsabilité sociétale (DD&RS) afin d’échanger et de réfléchir aux démarches de responsabilité sociétale qu’ils pilotent, notamment à l’aide des outils du Plan Vert.

    Les R2D2 sont devenus des rendez-vous incontournables pour les référents DD&RS des écoles, c’est le moment qu’ils attendent pour se retrouver, échanger, se redynamiser et intégrer les nouveaux venus. C’est aussi le moment pour se projeter dans l’action collective portée par la CGE et par des réseaux partenaires comme CIRSES, SULITEST ou le REUNIFEDD.

Un mapathon à l’UBO Open Factory

CartONG et Tiriad organisent un mapathon à l’UBO Open Factory. Vous pourrez découvrir la cartographie participative et humanitaire dans OpenStreetMap : pas besoin d’être un expert, c’est accessible à tout le monde ! OpenStreetMap, la carte du monde collaborative et libre

Comment ?

Avec la plateforme de cartographie libre et contributive OpenStreetMap (OSM, le « Wikipédia des cartes ») un outil formidable pour « remplir les blancs », n’importe qui peut participer à la cartographie de n’importe quelle zone de la planète : il suffit d’un ordinateur, d’une souris et d’une connexion internet ! Grâce à la couverture globale d’image satellites disponible aujourd’hui, il est possible de tracer facilement routes, bâtiments ou cours d’eau, autant d’informations très utiles pour les organisations humanitaires et de développement sur le terrain.

Date et lieu : Mercredi 18 avril à l’UBO OpenFactory. https://osm.org/go/erDxszIRm—?m=

L’après-midi :

En soirée :

La fin de la soirée ce déroulera par un repas partagé (buffet canadien) entre les différents participants. Préparer vos meilleurs plats, on s’occupe des boissons !

Merci pour votre participation !