Marie-Amélie Lacroix a intégré l’UBO, en septembre dernier, en qualité d’ingénieure Développement Durable. Elle nous en dit plus sur son parcours et sur ses missions.
Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur votre parcours ?
Marie-Amélie Lacroix : Mon Master en Management (MBA) en poche, j’ai toujours cherché du sens dans mon travail. Initiée très tôt au développement durable, il a été un fil conducteur tout au long de ma carrière.
Avant d’intégrer l’UBO, j’ai occupé le poste de responsable RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) pendant 6 ans au sein d’une union de coopératives maraîchères bretonnes. J’y ai notamment réalisé les premiers bilans carbone®, mené des projets pour réduire l’impact environnemental de l’activité au stade agricole et dans les bureaux (énergies renouvelables, mobilité, soutien à l’agriculture biologique…) et coordonné la suppression du plastique jetable dans les emballages.
Quelles seront vos missions au sein de l’UBO ?
M.-A. Lacroix : J’ai en charge la coordination des actions de développement durable et responsabilité sociétale auprès de la communauté UBO (étudiants et personnel) en lien avec les ambassadeurs des comités Développement durable de chaque composante.
Affectée à la direction du Patrimoine, les premiers projets qui me seront confiés sont les mobilités douces, le tri des déchets et la transition énergétique des bâtiments. Des sujets pour lesquels la communauté UBO a de très fortes attentes.
En parallèle, je travaille avec Frédéric Hervé, vice-président Développement durable et Transition énergétique de l’UBO, sur le nouveau Schéma directeur Développement durable et Responsabilité sociétale (S3DRS). Celui-ci fixera de nouveaux objectifs très opérationnels définis en concertation avec les parties prenantes internes. Des objectifs qui seront amenés à évoluer dans une logique d’amélioration continue.
Deux mois après votre prise de fonction, quelles sont vos premières impressions ?
M.-A. Lacroix : En arrivant à l’UBO, j’ai été marquée par l’engagement de chaque composante dans le Développement durable, par l’implication des ambassadeurs DDRS mais aussi par celle des personnels et étudiants qui donnent de leur temps pour agir. Si j’ai appris une chose dans mon parcours c’est que tout seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin. Et je suis ravie de prendre la route avec eux !