Campus innovant et durable : retour sur la saison 2

Alors que la nouvelle édition du dispositif Campus innovant et durable (CID) débutera en novembre prochain, L’UBO, en vert c’est mieux ! vous invite à découvrir deux projets issus de la saison 2, qui vont entrer en phase d’expérimentation. Cette étape essentielle du dispositif CID permet de tester un projet sur un site pilote du campus afin d’en éprouver la viabilité. 

Augmenter la biodiversité sur le campus

C’est un espace vert inexploité au sein de la faculté des Sciences et Techniques qui a fait naître cette belle idée. Celle d’investir cet espace pour y aménager une prairie fleurie, qui pourrait même être agrémentée de fruitiers et de ruches. À la clé : un coup de boost pour la biodiversité, un environnement embelli pour les usagers du site, mais aussi une dimension pédagogique. Cet écosystème harmonieux pouvant ainsi servir de support aux cours de biologie ou encore à des ateliers de sensibilisation à la biodiversité. Malheureusement, des travaux de rénovation adjacents ont obligé l’équipe à revoir le lieu d’implantation, ainsi que les contours du projet.

« Le nouveau site envisagé se situe entre les amphis de la faculté de droit et l’IUT. C’est un lieu de promenade très fréquenté par les riverains du quartier de Kergoat » explique Manon Inizan, technicienne de recherche au sein du laboratoire Géoarchitecture et porteuse du projet. « Nous avons reçu le matériel qui va nous permettre de débuter l’expérimentation pour le volet prairie fleurie uniquement, dans un premier temps. Les graines reçues sont essentiellement des espèces locales. Un comparatif intéressant pourra ainsi être établi grâce aux relevés réalisés par les étudiants du master Gestion et Conservation de la biodiversité sur la prairie fleurie de la présidence, qui se trouve à proximité, rue des Archives. »

« Le dispositif CID nous a permis de constituer un groupe, de nous faire nous interroger sur les parties prenantes et de nous mettre en action ! » conclut Manon Inizan. Les semences seront réalisées en mars 2024.

Réduire l’impact numérique des équipements de l’UBO

Le second projet issu de l’appel à idées CID a pour ambition de réduire l’impact carbone du numérique à l’université. Concrètement, il s’agit d’installer des compteurs et des thermomètres connectés dans certains datacenters de la faculté des Sciences et Techniques, ainsi que dans une salle de TP informatique. Ils permettront ainsi de mesurer la consommation électrique avant et après la mise en place d’actions de réduction (arrêt automatique des salles de TP, délestage des serveurs, etc.)

« Pour l’heure, l’expérimentation n’a pas encore commencé. Si elle s’avère concluante, nous pourrons généraliser l’installation de ces compteurs à l’ensemble des serveurs en datacenters et des salles de TP informatique » précise François Roels, directeur des Systèmes d’information et des Usages du numérique et porteur du projet.

« L’accompagnement CID a été un vrai plus pour aider à clarifier cette idée de départ, la rendre concrète et, surtout, réalisable. »

Campus innovant et durable revient pour une saison 3

Campus innovant et durable, c’est un dispositif d’accompagnement qui permet aux personnels et étudiants de donner vie à leurs idées, en lien avec les objectifs de développement durable sur le campus, et d’explorer de nouvelles solutions de façon créative et collaborative !

L’appel à participation auprès de la communauté UBO pour l’édition 2023/24 débutera en novembre prochain. En attendant, retrouvez ici toutes les infos sur CID.

Conférence « Dérèglements du climat. Un bref aperçu. »

Jeudi 16 novembre, l’UBO propose une conférence ouverte à tous les publics sur le thème du dérèglement climatique.

Nous entendons régulièrement parler dans les médias du réchauffement climatique ainsi que d’éventuelles solutions aux multiples problèmes qu’il provoque. Mais qu’en est-il réellement ?

Christian Léonard, professeur de Mathématiques à l’université de Paris-Nanterre, a récemment proposé un cours sur le sujet dans le cadre de la formation doctorale de son université. Tout comme les doctorants auxquels ce cours était adressé, il a été impressionné par la sous-estimation de l’ampleur des déséquilibres provoqués par l’activité humaine.

Il se propose de nous faire part de cette expérience. Il s’appuiera en grande partie sur les rapports de synthèse du GIEC ainsi que sur des données numériques et des estimations de consommation d’énergie collectées par Our World In Data et le Shift Project.

La conférence se clôturera par un temps d’échange avec le public.

  • Rendez-vous jeudi 16 novembre, de 10h15 à 12h, dans l’amphi E de la faculté des Sciences et Techniques.
  • Cette conférence est ouverte à tout public.

Chantiers de rénovation énergétique : où en sommes-nous en cette rentrée universitaire ?

La rénovation énergétique est un axe fort de la stratégie immobilière de l’Université. À travers plusieurs programmes de financement, des opérations significatives sont engagées. Au Bouguen, plusieurs bâtiments ont ainsi achevé ou engagé leur transition.

Le bâtiment G de la faculté des Sciences et Techniques va bénéficier d’un ambitieux programme de rénovation énergétique.

Travaux achevés du côté de la BU du Bouguen, des IUT de Brest et de Quimper

Les ambitieux délais de départ ont été tenus ! Les travaux de rénovation énergétique de l’IUT de Brest, de Quimper et de la bibliothèque universitaire du Bouguen se sont achevés respectivement en mars, avril et septembre 2023.

Démarre désormais une nouvelle phase, appelée Garantie de parfait achèvement (GPA). Cette période de test en situation, d’une durée de deux ans, sera l’occasion de s’assurer que les travaux tiennent leurs promesses. Grâce à la mise en place de compteurs, une analyse des consommations va permettre de vérifier les gains énergétiques et d’ajuster, au besoin, les paramétrages (chauffage, éclairage, etc.).
Ce suivi en temps réel, et quelques recommandations pour les usagers, seront diffusées dans les bâtiments au moyen d’écrans numériques. En effet, ces aménagements induisent aussi de nouveaux comportements de la part des utilisateurs des sites.

Quant aux premiers résultats… Ils sont très encourageants ! Les gains réels sur ces bâtiments devraient dépasser les prévisions pour atteindre les – 60% (électricité et chauffage).

Travaux en cours et à venir en faculté des Sciences et Techniques

Le bâtiment G entame sa transition

Objectif premier de cette opération : apporter au Lab-STICC des espaces de travail propices au développement de leurs activités tout en donnant une visibilité et un ancrage spatial fort, dans le campus du Bouguen, aux Sciences et Technologies de l’Information, de la Communication et de la Connaissance (STICC).

À cela s’ajoute un ambitieux programme de rénovation énergétique. En effet, le bâtiment bénéficiera notamment d’une isolation par l’extérieur qui transformera profondément son aspect esthétique, en liaison avec l’Architecte des Bâtiments de France. À la clé : une façade modernisée, témoin du renouveau architectural du campus. Mais aussi : de nouvelles fenêtres et de nouvelles installations techniques performantes et basses consommations (éclairages LED,  ventilations double flux avec échangeur thermique, chauffage, etc.). Le tout, en privilégiant les matériaux biosourcés, issus de matière organique renouvelable.

Le chantier a démarré en mai et devrait s’achever au deuxième trimestre 2025. À suivre…

À suivre : le bâtiment N

Le calendrier se précise pour la rénovation énergétique du bâtiment N. Le dossier d’expertise est en cours : il s’agit d’une étape préalable obligatoire, avant le lancement du marché public en janvier 2024. Si ce planning est respecté, les travaux devraient pouvoir démarrer en 2025.

Un bassin d’infiltration des eaux de pluie au Bouguen

Derrière la bibliothèque universitaire du Bouguen, les espaces verts situés en face du stade synthétique accueillent désormais un bassin d’infiltration des eaux de pluie. L’UBO, en vert c’est mieux ! vous en dit plus sur l’intérêt d’une telle installation.

Un panneau d’information sera très prochainement installé à proximité du bassin. Il permettra de faire savoir aux usagers du site de quel aménagement il s’agit, mais aussi de les sensibiliser aux enjeux de préservation des ressources.

On l’appelle bassin d’infiltration ou encore bassin de recharge. À ne pas confondre avec son cousin, le bassin de rétention !
Concrètement, il s’agit d’une cuvette peu profonde qui permet aux eaux pluviales de s’infiltrer librement dans le sol pour rejoindre la nappe phréatique. Le cycle naturel de l’eau est ainsi préservé. 
Le saviez-vous ? L’installation se situe au plus proche du bâtiment, en l’occurrence la BU Bouguen, pour éviter que les eaux qui ruissellent ne se salissent avant de rejoindre les nappes.

Cet aménagement, qui s’inscrit plus généralement dans le plan local d’urbanisme (PLU) de Brest métropole, est nécessaire pour contrecarrer le développement des surfaces de ruissellement imperméabilisées : trottoirs, parkings, routes, etc. En effet, cette augmentation entraîne une saturation progressive des réseaux d’évacuation et donc un risque accru d’inondations.

Mais un bassin d’infiltration a d’autres vertus ! Par l’humidité qu’il apporte, il favorise la biodiversité et peut contribuer, lors des épisodes de fortes chaleurs, à créer des îlots de fraîcheur.

S’il s’agit du premier aménagement de ce type sur le campus, d’autres sont d’ores et déjà programmés, notamment en faculté des Sciences et Techniques, dans le cadre de la future rénovation énergétique du bâtiment N.

À pied ou à vélo, suivez les fleurs des temps !

Devant la bibliothèque universitaire du Bouguen, l’une des fleurs des temps du campus.
Cette signalétique au pochoir a été réalisée par la PepSE, avec l’appui de l’UBO Open Factory, le fablab de l’université, et la direction du Patrimoine de l’UBO.

La PepSE, pépinière des solidarités étudiantes, porte de nombreux projets de développement durable et, notamment, des actions en lien avec la mobilité. Dernière en date : les fleurs des temps.

En plus d’embellir les trottoirs et routes du campus, cette signalétique au sol indique aux usagers la direction à suivre et le temps de trajet nécessaire (à pied ou à vélo) pour se rendre vers les points névralgiques de l’université (RU, facultés…) et autre (gare).

Via ce projet, la PepSE souhaite ainsi sensibiliser la communauté UBO à l’utilisation parfois inutile de la voiture sur de courtes distances.

Pour le moment, 3 des 7 fleurs prévues ont été réalisées : devant la bibliothèque universitaire du Bouguen, devant le restaurant universitaire de Kergoat et devant le restaurant universitaire du Bouguen.
Les autres fleurs fleuriront dans le courant de l’année universitaire.

Le 26 septembre, l’UBO met à l’honneur les mobilités durables

Mardi 26 septembre, la communauté UBO est invitée à découvrir les mobilités douces sur le campus et le territoire brestois sur le village des mobilités durables.

De la nécessité de repenser nos modes de déplacements

En France, le transport est l’activité qui contribue le plus aux émissions de gaz à effet de serre (GES), devant les bâtiments, l’agriculture et l’industrie tous trois ex æquo (Source : Ademe). Alors que les émissions nationales de GES ont diminué de 20 % entre 1990 et 2019, celles des transports ont augmenté de 9 %. Repenser nos modes de déplacements est donc un enjeu crucial dès aujourd’hui, et à plus forte raison dans l’objectif d’atteinte de la neutralité carbone en 2050.

Favoriser les mobilités durables sur le campus

Que ce soit par le biais d’aménagements spécifiques ou d’actions de sensibilisation, l’université encourage ses personnels, étudiantes et étudiants à utiliser des modes de transport alternatifs à la voiture individuelle. Faire découvrir les options, leurs avantages, les aides possibles, les contacts, etc., c’est l’objet de cette journée dédiée aux mobilités durables.

Le villages des mobilités durables

Étudiantes, étudiants et personnels sont invités sur le Village des mobilités (sur le parking de la faculté des Sciences et Techniques) mardi 26 septembre, de 10h à 15h30. L’UBO et ses partenaires, acteurs des mobilités sur le territoire, les accueilleront sur des stands d’information et des ateliers. Le programme complet de l’événement est disponible ici.

Ici commence l’océan

Brest Métropole poursuit sa campagne de sensibilisation aux effets des activités humaines sur l’océan en déployant des macarons « Ici commence l’océan » sur le campus Bouguen.

Des macarons en pierre de lave avec le message : « Ici commence l’océan » sont désormais visibles à l’entrée des avaloirs sur les différents sites de l’UBO. L’objectif ? Sensibiliser à la pollution et agir sur les comportements.

En effet, rien ne se jette dans les avaloirs d’eaux pluviales : ni mégots, ni emballages, ni papiers…

Ces petites ouvertures que l’on trouve un peu partout en ville, le long des trottoirs, jouent un rôle essentiel. Elles permettent d’évacuer les eaux de pluie qui, sans elles, s’accumuleraient sur la chaussée lors des intempéries, au risque d’inonder la ville.

Les eaux pluviales sont ainsi déversées dans des canalisations.
Mais pour éviter un coût inutile de traitement des eaux propres, elles ne suivent pas le même parcours que les eaux usées (épuration, nettoyage, etc). Elles sont rejetées directement vers le milieu naturel : rivière, océan…

Ainsi, tout déchet jeté sur la chaussée ou les trottoirs se retrouve charrié par les eaux vers les avaloirs et termine sa course dans nos rivières, nos océans.
Ne rien jeter dans les avaloirs, et plus généralement sur la voie publique, c’est donc un impératif !

À l’UBO, covoiturez grâce à OuestGo !

Pour faciliter le covoiturage depuis et vers les campus, l’UBO a mis en place deux communautés sur OuestGo, plateforme destinée à faciliter la mise en relation des covoitureurs.

Sur les campus, des places spécifiques de parking sont progressivement mises en places pour les covoitureurs.

Une plateforme facilitatrice pour tous les covoitureurs

OuestGo est une plateforme de covoiturage développée sous licence libre par plus de 70 collectivités du Grand Ouest. L’objectif : faciliter la mise en relation des covoitureurs.
Deux communautés UBO Campus de Brest/Plouzané et UBO Campus de Quimper peuvent permettre aux étudiants ou personnels de rentrer en contact avec d’autres membres de l’UBO et ainsi faciliter le covoiturage. Plus nombreux vous serez à vous y inscrire et à proposer des trajets et plus le système sera efficace !

Le covoiturage : une solution conviviale

Économique, écologique et convivial, le covoiturage présente de nombreux avantages. En effet, en plus d’une économie liée au partage des frais, l’utilisation de ce mode de déplacement permet de réduire le nombre de voitures circulant sur les routes et donc de diminuer la pollution.
Le covoiturage encourage également la communication entre « covoitureurs » et favorise les rencontres et la convivialité. Il donne accès à la mobilité au plus grand nombre, notamment à ceux qui ne possèdent pas de véhicule ou le permis de conduire. Entre atout sociétal, social, économique ou environnemental, le covoiturage est donc un véritable engagement de développement durable !
Solène Cousse est accompagnatrice aux Usages du numérique au sein de la direction des Systèmes d’information et des Usages du numérique (DSIUN) de l’UBO. Elle travaille au PN2B, dans le cœur du campus Bouguen. Elle pratique le covoiturage depuis octobre 2022 et n’y voit que des avantages ! Découvrez son témoignage

Bon à savoir

  • Une prime de 100 euros pour les primo-conducteurs en 2023 : le plan national « covoiturage du quotidien » du gouvernement prévoit une prime de 100 € pour les conducteurs qui se lancent dans le covoiturage courte distance en 2023. En savoir plus.
  • Le forfait mobilités durables (FMD) pour les personnels de l’UBO : les personnels de l’UBO, qui covoiturent régulièrement pour venir au travail, peuvent également bénéficier, sur demande et une fois par an, du « forfait mobilités durable ». Il s’échelonne de 100€ à 300€, en fonction du nombre de jours d’usage. Une campagne annuelle de recensement est menée par la direction des Ressources humaines.

À l’UBO, les prairies participent à la formation

Rue des Archives, dans le parc de la présidence, les prairies fleuries ravissent les promeneurs et les personnels qui travaillent sur le site. Un nouvel aménagement en faveur de la biodiversité, mais pas que…

Les prairies fleuries n’ont décidément que des vertus ! À L’UBO, elles participent à l’enseignement et à la formation.
Les étudiants en master Gestion et Conservation de la biodiversité de la faculté des Sciences et Techniques, supervisés par leur enseignant chercheur de département de biologie, y ont entrepris un recensement des arthropodes et des plantes afin d’en assurer le suivi. L’heure est aux échantillonnages. S’en suivra une analyse qui permettra d’identifier les espèces présentes sur le site.

Les prélèvements se succèdent en ce mois de juillet.
Des pièges d’interception ont été posés afin d’évaluer les communautés d’insectes volants.
Ils ont été réalisés par les étudiants, avec l’appui de l’atelier Menuiserie de l’université.
Cette expérimentation au sein des prairies fleuries va permettre de mesurer l’efficacité de cette technique qui pourrait ensuite être développée dans le cadre d’une étude sur la pollution lumineuse.

Travaux d’été sur le campus

L’UBO est gestionnaire d’un parc immobilier de 260 000 m², constitué de plus de 84 bâtiments. Un patrimoine immobilier conséquent qu’il convient d’entretenir et de moderniser. Si plusieurs chantiers d’ampleur sont en cours, à l’instar de la rénovation du bâtiment G en Sciences et des travaux de rénovation énergétique, de nombreuses autres opérations sont menées au fil de l’année, et notamment l’été. Elles participent à améliorer les conditions d’accueil des étudiants comme des personnels.

L’amphi Barbara (ex amphi U) de la faculté des Sciences du sport et de l’éducation bénéficie d’une rénovation complète. Obsolètes et donc difficilement maintenables, les installations électriques de cet amphithéâtre nécessitaient d’être reprises.

En l’absence des étudiants, les travaux d’été ont démarré sur le campus ! Ordonnancés, pilotés et coordonnés par les pôles Travaux et Maintenance de la direction du Patrimoine, ils se préparent depuis plusieurs mois déjà : identification des travaux nécessaires, élaboration et validation des budgets, marchés de travaux le cas échéant, planification… Ces opérations diverses, financées très majoritairement sur le budget de l’établissement, ont pour objectif commun d’offrir à tous les usagers les meilleures conditions d’accueil et de travail. Elles comprennent systématiquement un volet travaux d’accessibilité aux personnes en situation de handicap et un volet optimisation énergétique.

Revue de chantier des travaux de l’été 2023

Cet été, la direction du Patrimoine reste sur le pont pour réaliser ou superviser divers travaux avant la reprise en septembre :

> Sur le site du campus Bouguen, à Brest

  • Réfection complète, par l’atelier Électricité, des installations d’éclairage (passage à des solutions Led) pour les amphis Nord et Sud du centre Bouguen et les espaces de circulation de ce même bâtiment.
  • Rénovation complète de l’amphi Barbara (ex amphi U) supervisée par le pôle Travaux.
  • Installation de sous-compteurs sur les réseaux de chauffage des amphis PRAT (ex amphi 500) et SELLIN (ex amphi 600) et du bâtiment principal de la faculté de Droit, Économie, Gestion et AES par l’Atelier Plomberie. Ces sous-compteurs permettront un suivi en temps réel de la consommation énergétique du bâtiment.
  • Aménagement d’une salle multifonctions en A136 en faculté de Droit, Économie, Gestion et AES sous conduite d’opération du pôle Travaux.
  • Aménagement d’une salle immersive en D015 à l’IUT de Brest.
  • Entretien des cellules haute tension du site de la faculté des Sciences et Techniques.
  • Réfection du sol du hall de la bibliothèque universitaire du Bouguen sous conduite d’opération du pôle Travaux.

> Sur le site de Plouzané

  • Réhabilitation et adaptation des stations de chauffage de l’IUEM et de l’ESIAB pour permettre, dès le lancement de la prochaine saison de chauffe, une alimentation par le nouveau réseau de chauffage urbain du Technopole Brest Iroise.

Le pôle Maintenance assurera également la supervision de la poursuite du dévoiement des réseaux (gaz, électricité, fibre optique) réalisée par les différents concessionnaires dans le cadre du chantier Tramway de la Métropole, aux abords des avenues Le Gorgeu et Foch à Brest.
Et, bien évidemment, les grands chantiers de rénovation énergétique se poursuivent avec un mois de juillet marqué par la fin des travaux de la bibliothèque universitaire du Bouguen.